C’est quoi du contenu de qualité ?

Vous allez croire que j’écris quelques uns de mes articles en fonction de ce que je découvre sur la toile, et vous n’auriez pas tort !

Ce matin j’ai lu (oui, je lis beaucoup le matin, mais pas seulement) un article (un contenu de qualité ou pas ?) qui a éveillé mon désir d’argumentation.

Avant de développer mon avis en la matière, je vous propose de lire l’article de Matthieu Dufour à propos d’une bulle-shit publié sur le blog comm-des-mots.fr de Stéphane Favereaux (édit 09/2020 : l’article n’existe plus 🙁 ).

Après lecture de son billet, je me suis lancée dans la rédaction d’un commentaire pour exprimer mon point de vue mais je me suis rapidement rendue compte que j’avais bien trop de choses à dire alors autant rassembler tout ça dans un article à ma sauce. A vous de juger s’il sera rangé dans votre bulle-shit ou non 😉 !

Pour ce qui est du titre de mon billet, ne comptez pas sur moi pour vous donner une leçon ; c’est simplement une réflexion personnelle.

Ma bulle-shit n’est pas comme la tienne

Chacun voit midi à sa porte
Mon article plaira à quelques uns, mais pas à d’autres. A chacun sa bulle-shit.

Ce que j’écris sera d’ailleurs considéré comme du contenu de qualité pour certains mais pas pour d’autres.

Je pense que c’est hypocrite de dénoncer cette fameuse bulle-shit au sens général du terme. Évidemment, elle existe mais à chacun sa bulle-shit et bien qu’elle nous agace, c’est à chacun de faire son propre tri et malheureusement, nous n’avons pas les mêmes centres d’intérêts ; c’est bien ça le cœur du « problème ».

J’utilise les guillemets volontairement parce que ce n’est pas un problème mais plutôt une réalité qui se résume purement et simplement dans le fait qu’il faut de tout et pour tout le monde. Je doute que ce soit une surprise pour qui que ce soit alors effectivement, ma bulle-shit n’est pas comme la tienne, cher lecteur, parce que nous ne sommes pas forcément intéressés par les mêmes sujets !

Par exemple, toi lecteur, au hasard, ta bulle-shit sera constituée d’articles de marketing que tu jugeras médiocres tandis que la mienne contiendra des images de chats aussi stupides les unes que les autres. Peut-être que tes articles médiocres me plairont et que tu adoreras mes chats stupides ?

Selon moi, c’est un exemple simplifié de la réalité parce que non, il n’existe pas de définition universelle de cette fameuse bulle-shit. Si ?

Un contenu intéressant pour moi ne le sera pas forcément pour vous, au même titre qu’une image supposée être amusante ne fera pas rire tout le monde, et ainsi de suite… C’est un cercle vicieux.

Mais i sont où, mais i sont où, mais i sont où les contenus de qualité ?

En voilà une notion bien subjective. C’est un peu prétentieux de décrire tel ou tel billet comme étant de qualité (ou pas) non ? Z’êtes diplômés en haute école de qualitationnerie ?

où est la qualité
Elle est où la qua-li-té ?

Plus sérieusement, je pense que plusieurs paramètres sont à prendre en compte afin de pouvoir juger la qualité d’un contenu et quel que soit le constat final, il dépendra toujours de nos critères personnels.

Forcément, un article destiné à un lectorat débutant semblera inintéressant pour un expert mais de là à remettre en question sa qualité, cela me semble très prétentieux et stupide. Je ne rentre pas dans les détails mais vous voyez ce que je veux dire ? Comparons ce qui est comparable.

Maintenant, nous serons certainement tous d’accord à propos des fautes d’orthographe. Je suis incapable de lire un article bourré de fautes, même si l’erreur est humaine et qu’il m’arrive aussi de faire des bourdes grammaticales. Bref, là n’est pas la question.

Ce que j’ai simplement envie de souligner, c’est la façon dont nous pouvons juger la qualité d’un post et à partir du moment où ce sont des critères subjectifs qui constituent les unités de mesure, alors selon moi, la notion de qualité n’a aucun sens si ce n’est personnel.

Preum’s à tout prix

Si vous avez pris le temps de lire les commentaires sous l’article de Matthieu, j’ai envie de souligner un autre point lié à celui de Stéphane. Je mets de côté le « déjà vu », la pauvreté des contenus de webmarketing, toussa toussa.

J’ai plutôt envie de rebondir sur la présence en ligne et le fait de vouloir à tout prix être le premier à partager une (dés)information. Stef, je te rejoins sur l’équilibre à trouver entre « visibilité » et « qualité ».

Pour ceux qui me connaissent (un peu), vous savez à quel point j’aime échanger en dehors des commentaires d’articles et des limites Twitter de 140 280 caractères.

Bref, j’attache de l’importance aux partages, aux échanges, qu’importe si je suis la première à relayer un billet sur les réseaux sociaux, pourvu qu’il puisse plaire un peu ou beaucoup à d’autres, autant qu’à moi.

Maintenant, je ne partage pas toujours des articles permettant d’en tirer un quelconque enseignement. Il m’arrive de tweeter des chansons du moment, des images (sensées être) amusantes, des humeurs ou autres posts qui ne changeront pas le cours de votre vie mais qui, peut-être, vous feront sourire, comme moi.

Bref, vouloir être preum’s à tout prix, quel intérêt ? En particulier si la seule motivation est d’augmenter sa visibilité… Être visible c’est bien, mais du bon côté obscur de la force, c’est mieux ! Là encore, le « bon côté » est subjectif et ne sera pas le même aux yeux d’un individu à l’autre.

L’important, selon moi, ce n’est pas d’être le premier à partager une info. Ça me semble d’ailleurs être un peu ridicule de penser cela.

Il m’arrive parfois de lire des articles datés d’il y a plusieurs jours, semaines, voire années et pourtant, s’ils m’ont plu, je ne vais pas m’empêcher de les partager en me disant « oh bah non, depuis le temps, je ne serai pas la première à partager ça ».

En somme, je partage si j’ai aimé, si j’ai ressenti une quelconque émotion positive ou même s’il s’agit d’une discussion à laquelle j’aimerais vous inviter à participer… A ce sujet, vous pouvez aussi lire l’article de Sylvain Richard à propos du contenu viral ainsi que mes commentaires 1 et 2 (où je différencie la qualité de la quantité).

En conclusion

Bien que plein de choses nous gonflent sur la toile, pourquoi s’attarder sur le négatif quand il y a autant, voire plus, de positif ?

Ce qui me dérange, ce sont ceux qui passent leur temps à critiquer et se plaindre ou, pire encore, à donner des leçons aux autres alors qu’ils ne font pas mieux (NB : je ne parle pas de Matthieu Dufour, ni quiconque mentionné dans mon article 🙂 ). La toile est pleine de contenus divers et variés, de qualité subjective et je pense que nous sommes capables de trier ce qu’il y a de bon à prendre ou non et toujours en fonction de nos intérêts.

Le web n’est pas uniquement constitué d’informations savantes et très honnêtement, ça peut aussi être sympa de partager une image délirante qui ne nous apprendra pas forcément à résoudre une équation mathématique ni une problématique marketing…

Vous imaginez, vous, un web qui met tout le monde d’accord ? Un web qui range tout le monde dans le même placard ? Un web qui bride l’expression ?

Au fond, qui sommes-nous pour juger la qualité d’un contenu ? Qui sommes-nous pour déterminer ce qui mérite d’être partagé ou non ? A vos claviers, vous avez 2h ! 🙂

23 commentaires

  1. Salut.

    Le contenu médiocre n’est pas le contenu léger, attention. On peut tout à fait parler de chats et même de boobs sans que ce soit médiocre.

    Pour moi, le contenu médiocre c’est le contenu pompé et repompé ici et là qui ne dit rien de plus qui n’apporte aucune valeur ajoutée, qui n’as pas de goût, pas de saveur. Tu termines l’article et tu as l’impression d’avoir lu la même chose pour la 50ème fois.

    Après je trouve intéressant l’idée que tu développes de ne se concentrer que sur le positif, je la partage. Par exemple, dans mon domaine qui est le dév WP on se plaint toujours des plateformes et autres marketplaces où on trouve des codes de merde. J’ai arrêté de faire des articles dessus car bien conscient que ces plateformes continueront de tourner.

    Je préfère désormais souligner ce qui selon moi a de la valeur et/ou de l’intérêt.

    Je ne suis pas d’accord, la qualité à un sens. Elle peut s’objectiver. En revanche certains confondent parfois « ce blog est de qualité » avec ‘j’adore ce blog », il y a des sites qui m’agacent dans leur philosophie ou alors je vais trouver l’auteur prétentieux mais cela ne m’empêchera pas de reconnaître la qualité de leur contenu et d’y revenir.

    Je ne suis pas d’accord sur l’idée que la vitesse importe peu. Oui dans pas mal de domaines mais sur certaines niches c’est le coeur du business non?

    Enfin sur le point où tu parles de la capacité de chacun a faire le tri. C’est vrai mais sur certains domaines techniques, des mauvaises pratiques sont encouragées, il faut bien corriger le tir non?

    Ton article était agréable à lire. Merci.

    • Salut Julien,
      Merci pour ton retour.

      Je ne parlais pas de contenu léger mais bien médiocre donc pas de confusion ici. Il s’agit simplement d’un exemple que j’ai volontairement présenté brièvement pour marquer une différence de cas.

      Bien sûr que la qualité a un sens mais justement, je dis que ce sens est subjectif. Elle peut être objective à partir du moment où tu as des éléments concrets qui te permettent de la qualifier en tant que telle : orthographe, solution à problématique, valeur ajoutée, etc.

      Concernant la vitesse (cf. le fait d’être preum’s), je ne suis pas d’accord avec toi. Tout dépend des objectifs recherchés et du secteur en effet. Parfois, même en n’étant pas le premier à relayer une info, tu gagnes tout de même en visibilité et en crédibilité! Néanmoins, en dehors de cette recherche permanente de flatterie de l’égo, je maintiens qu’être preum’s ne doit pas être la motivation majeure à partager quoi que ce soit sur la toile.

      Pour l’aspect technique, mais pas seulement, tu as bien raison et heureusement que les erreurs peuvent être, et sont, corrigées!

      • Re,

        Bah justement moi je dis que la qualité n’est pas subjective, ce qui l’est c’est d’aimer ou pas tel blog pour des raisons autres que le contenu. Y a pas d’ego dans l’affaire, être le preums histoire de dire je l’ai dit avant tout le monde oui y a quelque chose de ridicule mais être preums avoir l’exclu sur tel dossier c’est une valeur ajoutée.

        • Je n’associe pas « qualité » à « amour », ça n’a rien à voir … (d’ailleurs tu fais bien de le souligner, je viens de me relire, et ça prête à confusion, effectivement. Merci Julien!)
          Bis :
          « Elle [la qualité] peut être objective à partir du moment où tu as des éléments concrets qui te permettent de la qualifier en tant que telle : orthographe, solution à problématique, valeur ajoutée, etc. »

  2. Bonjour,

    Merci de poursuivre le débat ici !

    Effectivement, cela n’est peut-être pas assez précisé, l’article concerne essentiellement le contenu « marketing/communication/web » qui explose en quantité et diminue (à mon avis) en qualité parce que nous sommes beaucoup de professionnels à vouloir/devoir exister sur la toile pour nous « vendre », et qu’à force nous avons une sérieuse tendance à radoter. Le « preum’s à tout prix » est stupide, je suis entièrement d’accord, mais malheureusement réel. Je voulais donc faire le constat d’un certain nombre de ces excès en tant que complice du système…

    Alors même si c’est parfois subjectif, il y a objectivement beaucoup de redites et de billets écrits sans recul dans notre domaine 😉

    Mais oui il y a aussi plein de choses intéressantes à écrire : c’est pourquoi je voulais ouvrir la réflexion à la fin de l’article sur notre capacité en temps que professionnels du marketing et du web à justement investiguer d’autres sujets, explorer d’autres champs de réflexions plutôt que de ressasser les mêmes sempiternels marronniers…

    Contrairement aux apparences c’est donc un billet positif et plein d’espoir !

    Matthieu

    • Bonjour Matthieu,
      Merci beaucoup d’avoir pris le temps de lire et de réagir.
      Pas grand chose à ajouter à votre commentaire mais effectivement, il y a encore du bon à prendre et à partager sur la toile 🙂 !

  3. Débat très intéressant. Mais, à qui la faute ? Ce que l’auteur déplore, cette bulle-shit, elle vient d’où ?

    Pourquoi tous ces gens (et j’en fais partie) passent-ils du temps à s’exprimer sur le web, à donner des avis, des conseils, parfois à échanger ? Entre la culture française très ancrée dans la position sociale et la relative impunité donnée par le web, il est tellement tentant de chercher à briller en société !

    La faute, en partie, aux vendeurs de pelle, toujours. Les pionniers du marketing, de la com’ de masse. J’écris cela sans aucune vue péjorative. Ceux-là ont observé, réfléchi, expérimenté un tas de trucs. Ils ont beaucoup bossé.

    Mais depuis ? On lit partout qu’il faut savoir se vendre, qu’il faut être un expert. On lit aussi partout qu’il ne suffit que de quelques heures par jour pour devenir un expert en quelques mois, en partant de rien. Tout ça, ça marche aux débuts d’une aventure, pas 20 ans après les premiers échanges de paquets de données sur internet…

    Aujourd’hui les pigeons se bouffent entre eux, chacun essaie de fourguer sa came à son voisin.

    Il est peut-être temps de regarder en haut plutôt qu’en bas, de ne pas foncer tête baissée dans les magasins de pelles en espérant avoir l’avantage concurrentiel qui fera de moi un nabab, là où les autres qui achètent leurs pelles aussi se planteront lamentablement (ben oui, leurs pelles sont peut-être super pour les sols meubles mais inutilisables ailleurs).

    On fonce tête baissée dans la course à la technologie, on com’-mu-nique (sa mère), on (red) bull-shit, pit-bull style, genre produire régulièrement des articles de 300 mots minimum avec les bons mots-clés qui sentent bon la promesse de ranker…

    Quant aux discours, faites la recherche sur « pour vendre sur Internet sans passer pour un « marchand de tapis » les résultats sont très instructifs et tellement cyniques…

    Alors oui, il reste du bon, est très souvent, il est là où ne se cache aucun intérêt financier 🙂

    • Salut Yann!
      Merci pour ton commentaire.
      Tu soulèves un point important dont je n’ai pas parlé mais effectivement, le rapport à l’argent n’est pas sans conséquences qui sont d’ailleurs souvent mauvaises …

  4. (Je ne sais pas si mon commentaire précédent est parti tout seul ou si je l’ai supprimé par mégarde… bref me revoilà, au cas où)
    Pour moi, ce qui compte c’est avant tout la qualité du français. Je sais que cela fait très « vieux jeu » et l’on m’a souvent rétorqué que le fond est plus important que la forme. Seulement pour moi, si la forme ne respecte pas les sacro-saintes règles de la grammaire française, je trouve que ça ne vaut pas le coup d’aller plus loin.

    Le soucis selon moi c’est que nombre de blogueurs se contentent de dire ce qu’ils pensent sans le mettre en forme, donc on a les idées, mais dans un piètre français. C’est dommage d’avoir des choses à dire et de les exprimer de façon aussi « sale ».

    Voilà ça c’est juste mon point de vue à moi.

    Perso je ne blogue pas pour faire briller mon petit blason, mais plutôt pour donner un bon gros coup de pied dans la fourmilière qu’est le SEO et sa satanée « communauté », donc je sais que l’on me juge plus sur le fond que sur la forme. Pourtant, j’y mets les formes ! Donc finalement ce n’est qu’une histoire d’ego : je pense bien écrire, j’écris (bien, donc ^_^) et cela suffit à me faire plaisir à moi. Ce qu’en pensent les autres ? Que le fond est mauvais car trop négatif. Mais la forme ? Je n’en sais rien, donc peut-être que mes efforts sont vains, dans un monde où le but est avant tout de mettre en avant un fond, quitte à en oublier la forme.
    Vince a récemment publié : Haine-SEOMy Profile

    • Coucou Vince,
      Oui, tu as envoyé ton premier commentaire alors qu’il était inachevé alors je t’ai validé celui-ci :-).
      Merci d’être passé et d’avoir commenté.
      Je te rejoins sur la qualité du français. Je ne pense pas maîtriser notre langue à un niveau particulièrement élevé mais effectivement, je fais au mieux pour me rapprocher du « 0 faute ».
      Concernant tes motivations de blogueur, elles t’appartiennent et à partir du moment où TU éprouves du plaisir à bloguer, j’ai envie de te dire que c’est l’essentiel. Maintenant, les différends que tu peux avoir avec d’autres blogueurs, ils t’appartiennent aussi et je n’ai pas envie de m’y joindre 😀 !
      A bientôt!

  5. Le contenu de qualité en Webmarketing, ce sont ceux qui en le plus capables qui en font le moins. Une preuve irréfragable? Je n’ai rien publié depuis 2012 sur mon blog SEO.

    Les dés sont jetés, alea jacta est ! Less is more !

    Haha
    Samuel a récemment publié : Google n’est pas ton papa !My Profile

  6. Qualité, pas qualité, ça revient de plus en plus sur le net en ce moment. Moi je ne raisonne pas tellement en terme de qualité. Un article me plaît alors je l’aime et (parfois) je partage. L’article ne me plaît pas? alors je n’aime pas. Ca marche plutôt au feeling pour moi.
    On trouve très souvent sur internet ces temps-ci des blogs où on propose des règles pour rédiger du contenu de qualité etc. Quand on écrit un article, on dit d’abord ce qu’on pense (encore le feeling!) alors c’est un peu difficile de garder toutes ces règles en tête et de penser à les appliquer. Pour moi si le message est transparent, avec un petit côté amusant et que ça passe bien à la lecture, alors c’est l’essentiel.

    • Bonjour Dana,
      Merci d’avoir lu et commenté l’article.
      La notion de qualité est à dissocier de l’appréciation d’un article, en tout cas, pour ma part.
      Comme vous, si un article me plaît, je vais le « liker » voire le partager donc oui, ça fonctionne au feeling.
      Maintenant, un article peut à la fois être de qualité mais ne pas me plaire. Voilà pourquoi je n’associe pas « qualité » et « amour ».

  7. Hello Cyn et les autres !

    Merci pour ce petit article très sympa, original, écrit avec le cœur ! 😉

    Je suis tout à fait d’accord avec toi : la notion de « qualité » est très subjective ! Nous sommes tous différents, nous avons tous des centres d’intérêt différents, nous ne sommes pas tous sensibles aux mêmes choses (images, humour, message…). Bref, je pense que le rédacteur web doit tout simplement écrire comme il le sent, sans se donner comme objectif de plaire à tout le monde : c’est impossible..

    Par contre, une chose que j’aimerais surligner : il faut respecter les autres, même si nous ne sommes pas d’accord, respectons les autres, respectons les avis des autres, respectons leur vision et leur façon d’écrire… C’est cette diversité qui fait notre richesse..

    Et au lieu de critiquer, juger, ou donner des leçons aux autres… mieux voudrait peut-être, déjà remercier l’auteur pour son article et laisser son avis avec un vrai argumentaire derrière..

    A plus tout le monde ! 🙂
    Miss Seo Girl a récemment publié : Structurez votre rédaction web avec le Mind Mapping .. !My Profile

    • Coucou Alex,
      Merci pour ton commentaire. Je partage ton avis, c’est-à-dire écrire comme on le sent.
      Oui, respectons-nous, que nous nous aimions ou pas.
      A bientôt! 🙂

  8. Bonjour,

    Je rejoins en tous points l’analyse de Julien, car la qualité ne se juge pas sur le choix des thématiques traitées, mais plutôt de la façon dont elles sont traitées.
    C’est d’autant plus vrai que chacun est libre de faire ce qu’il veut chez lui et si l’internaute n’accroche pas avec la thématique d’un blog ou d’un article, rien ne l’empêche de passer son chemin.
    Pour moi, la qualité se juge plus sur la façon dont les articles sont construits, rédigés et étayés par des sources, exemples concrets et/ou retours d’expérience, ainsi que sur la véracité des propos tenus.

    Amicalement,

    Bruno
    Bruno TRITSCH a récemment publié : Installation et paramétrage du plugin FloeCommentMy Profile

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